The Marvelous Mrs. Maisel
La Fabuleuse Mme Maisel
Dans le New York de 1958, Miriam “Midge” Maisel a tout ce dont elle peut rêver : un mari parfait, 2 enfants et un appartement élégant dans l'Upper West Side. Mais sa petite vie parfaite prend un virage inattendu lorsqu'elle se découvre un talent pour le stand-up.
Terminée | Américaine, US | Pas de durée |
Comédie dramatique, Historique, Comedy, Drama, Comédie, Drame | Amazon | 2017 |
0 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
1.04 - La Déception des sœurs Dionne
The Disappointment of the Dionne Quintuplets
Midge s'éloigne de son ancienne vie parfaite. Susie lui montre les ficelles en faisant le tour des one man shows de New York. Rose est un peu trop enthousiaste à propos de la nouvelle vie de Midge.
Diffusion originale : 28 novembre 2017
Diffusion française :
28 novembre 2017
Réalisat.eur.rice.s :
Amy Sherman-Palladino
Scénariste.s :
Amy Sherman-Palladino
Guest.s :
Kate Wetherhead
,
Andrea Boehlke
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 04 juin 2018 à 23:22 |
Je vais commencer par dire que la scène d'intro est magnifique, que ce soit le message transmis, la réal, la BO ou la photo... tout est parfait ! Sinon, The Marvelous Mrs. Maisel, c'est toujours aussi réussi, il n'y a pas de temps-morts. On rit toujours autant, Susie et Midge forment une super équipe, les dialogues entre les deux vont vite, font rire et approfondissent les deux personnalités. Il y a quelque chose de très burlesque dans cette série, qu'il faut accepter. Notamment tout le grandiloquent tableau familial, qui réussit tout de même à trouver une résonance émotionnelle insoupçonnée. Tony Shalloub est encore une fois merveilleux dans un rôle, qui bien qu'il soit parfois caricatural, nous réserve toujours ça et à quelques surprises. La seule partie "négative" de cet épisode est Joel. Autant l'épisode avait bénéficié de lui donner plus de consistance, autant dans celui-ci, il est juste le personnage indécis et sans personnalité qu'il a pu être dans les premiers épisodes. |
Excellente scène d'intro qui renvoi immédiatement à ce que vit la mère de Midge, avec une forte reproduction des codes sociaux à l’œuvre
Plus globalement, j'adore comment la série joue sur la mémoire des spectateurs. On le voit avec Midge qui découvre des artistes dans l’atelier des geeks disquaires. Que reste-il une fois que le temps a fait son œuvre ? Qu'avons-nous retenu, nous spectateur, des années 50 après des clichés et une certain fétichisation de cette époque (Mad Men parle de cela également) ? Et ça, ça donne un vrai vertige qui densifie la série.